Groupes de Partage

Les premiers chrétiens étaient assidus à l’enseignement des apôtres et à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières

Actes 2,42

Les communautés paroissiales s’appuient sur de grosses structures et rassemblent de grandes assemblées. C’est pourquoi il est important que
chaque paroissien puisse vivre l’amour de Dieu, du prochain et de soi même, l’accueil et le soutien mutuels dans des petits groupes d’Église de
taille familiale (5 à 10 personnes) et en grandissant dans la foi trouver sa
place dans l’Église. Cette fraternité cherche à favoriser l’insertion dans
la grande communauté.

Monseigneur G. Daucourt avait lancé il y a plusieurs années les « Petites Communautés Fraternelles de Foi » dans le diocèse de Nanterre. Reprenons cette idée pour inscrire dans ce cercle toutes les équipes paroissiales existantes et pour inviter chaque paroissien à rejoindre ou à fonder une équipe de telle sorte que personne ne soit mis de côté.

À Saint-Pierre-Saint-Paul, il existe plusieurs groupes mensuels que
vous pouvez rejoindre dès maintenant ou plus tard dans l’année :

  • Les équipes de fraternité, où l’on lit la parole du dimanche, prie et
    s’édifie l’un l’autre ;
  • Le mouvement des Focolari fondé par Chiara Lubich (contacter
    Sylvie Mathey accueil@stpierrestpaul-courbevoie.diocese92.fr) ;
  • Les équipes Tandem pour les jeunes couples désireux de poursuivre la réflexion après la célébration de leur mariage autour de thèmes concernant la vie conjugale et familiale (contacter Claire et Olivier Stemler : claire.stemler@gmail.com) ;
  • Les groupes de Carême autour d’un thème spirituel (à partir du
    mois de février).

D’autres équipes sont en train de se constituer autour d’un parcours intitulé En chemin vers l’Essentiel et de nombreux paroissiens pourraient également les rejoindre. Il s’agit de 7 rencontres annuelles au sein d’une équipe fraternelle qui se réunit un soir par mois entre 20 h et 22 h maxi. Chaque participant s’engage à s’approprier avant la réunion le thème prévu par la lecture du parcours proposé et à vivre avec les autres participants une véritable expérience spirituelle de fraternité lors de la réunion et même au-delà.
Le but de ces rencontres n’est pas de faire entre tous un débat d’opinions, mais que chacun partage ce qui le touche le plus.
Le parcours rejoint 3 objectifs :

  1. Approfondir le Parole de Dieu ;
  2. Construire une communauté ;
  3. Devenir de plus en plus un disciple-missionnaire.

Les 7 thèmes traités sont les suivants :

  1. Mon attente, ma rencontre avec le Christ
  2. Pourquoi suis-je sur terre ?
  3. L’adoration / la prière
  4. La communion fraternelle
  5. La maturité
  6. Le ministère / le service
  7. L’évangélisation.

Nous lançons à tous les paroissiens un appel à rejoindre l’une ou
l’autre de ces équipes. Les inscriptions seront lancées aux sorties des
messes.

« Allez à ma vigne, vous aussi, et je vous donnerai ce qui est juste. » (Mt 20,4)

D’après la parabole racontée aujourd’hui par Jésus dans l’Évangile, dans le royaume des Cieux, des ouvriers sont embauchés pour travailler à la
vigne tout au long de la journée, de la première à la onzième heure, et le soir
venu chacun reçoit le même salaire, à la stupéfaction des premiers ouvriers embauchés dès potron-minet. Depuis 2000 ans, l’Église appelle les baptisés à participer activement à sa mission ; des hommes et des femmes, des saints et des mystiques, des éducateurs et des évangélisateurs, des visiteurs de malades et des serviteurs de la charité, des organisateurs autant que des êtres plus effacés, voire cachés, ont répondu à l’appel du Seigneur, ils ont retroussé leurs
manches, ils se sont donné le temps d’une formation et ils ont offert une part de leur courage et de leurs compétences. Les rôles de chacun sont différents, mais
Jésus précise que la récompense est la même pour tous : être associé à la joie du Ressuscité et à la vie éternelle.
Depuis le début du mois de septembre, je prends le temps de découvrir notre paroisse Saint-Pierre-Saint-Paul et de rencontrer diverses personnes ou des groupes paroissiaux variés. Je suis loin d’avoir mesuré toutes les richesses qui se vivent chez nous et se poursuivront encore. Pourtant
j’entrevois déjà quelques besoins immédiats. Voici deux exemples : il me semble nécessaire de multiplier les petites équipes de fraternité, de prière et de formation autour de la Parole de Dieu et de la foi, de l’écoute et de l’échange
mutuels ; et il me semble également indispensable de développer davantage la
pastorale conjugale et familiale, en réfléchissant à la proposition des sacrements pour les enfants comme pour les adultes, à la fidélité des chrétiens dans leur démarche de foi et à l’accompagnement de toutes les étapes de la vie,
depuis la naissance jusqu’au temps du veuvage et de la mort comme événements spirituels. N’hésitez pas à rencontrer l’un ou l’autre prêtre de la paroisse pour lui faire part de vos questions et de vos propositions. Je compte
sur vous !
Père Yvan Maréchal

« Quel est donc celui-ci ? » (Mt 8,27)

Il y a 2000 ans, il n’était certainement pas facile d’approcher le Christ et les disciples n’ont pas compris aussitôt sa véritable identité. Il n’est pas plus simple aujourd’hui pour des paroissiens d’aller à la rencontre de leur nouveau curé et pour le curé d’apprivoiser ses paroissiens. Nous allons donc faire connaissance dans les semaines à venir. Je viens à vous tout simplement et tout humblement pour être votre pasteur, à la suite du père Georges, avec une seule intention : vous faire aimer Jésus !

Carte d’identité

Je suis né en 1962 dans une famille chrétienne, deuxième enfant d’une fratrie soudée de quatre. Élevé dans une ville de la banlieue sud, j’ai rejoint la capitale à l’âge adulte, Récemment, peu avant le 15 août dernier, j’ai perdu mon père que j’ai accompagné dans sa fin de vie provoquée par une leucémie. Mes parents venaient de fêter leurs 62 ans de mariage. Il est toujours douloureux de se séparer d’un être aussi cher et le deuil se fait dans la durée.

Après des études littéraires et une belle expérience de vie professionnelle, et à la suite d’une formation théologique et spirituelle au séminaire, j’ai été ordonné prêtre en 1991. C’est dans le diocèse de Paris, auquel j’appartiens, que j’ai passé le plus clair de mon ministère sacerdotal en paroisse. Spécialisé en études bibliques, j’ai formé parallèlement des générations de laïcs et de séminaristes et j’espère vous donner le goût de la parole de Dieu. Rattaché par une consécration à la spiritualité carmélitaine, l’oraison a une grande importance dans ma vie et je souhaite vous aider à être profondément contemplatifs, pour devenir pleinement actifs dans la société et vous donner au Seigneur ainsi qu’à vos frères et sœurs en Jésus.

Constat

La paroisse Saint-Pierre – Saint-Paul témoigne de la richesse de ses activités effectuées dans l’annonce de la Bonne nouvelle, dans la célébration des sacrements et dans les différents services aux personnes. Nous continuerons à dynamiser toutes ces activités et dans un esprit de créativité nous chercherons à susciter et promouvoir des réalisations nouvelles que l’Esprit Saint nous signifiera, afin d’aider chacun à croître comme disciple-missionnaire. Chaque membre de l’Église doit se considérer comme une pierre vivante nécessaire à la construction du royaume de Dieu, quels que soient son âge, sa situation et son implication. Certains paroissiens ont quitté le quartier et de nouveaux arrivent : qu’ils se sentent accueillis et trouvent leur place dans la communauté, prêts à s’y engager à leur tour.

Appel

Cette année de transition mettra l’accent sur l’appel. L’Église est une communauté de baptisés destinée à grandir dans la vie chrétienne. Puisse chacun personnellement se sentir vraiment appelé à vivre une rencontre vivante avec Dieu, à entretenir des relations fraternelles avec son prochain, à grandir dans la connaissance du Christ, à s’engager dans le service des autres, notamment des plus petits, et à annoncer l’Évangile autour de soi. Jésus dit un jour : « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. » (Mt 9,37) Et il ajoute aujourd’hui dans l’évangile de Matthieu : « quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux. » (Mt 18,20)

Père Yvan Maréchal

Homélie du 23ième dimanche A

Courbevoie, le 6 septembre 2020

Lectures : Ez 33,7-9 ; Ps 94 ; Rm 13,8-10 ; Mt 18,15-20

Il est une chose qui m’étonne de plus en plus de nos jours, c’est l’individualisme, dans lequel vit notre société, comme si chacun vivait tout seul dans son coin. Cela est vrai dans la vie des quartiers de nos villes, cela est vrai au travail, en entreprise et surtout au télétravail, cela est vrai dans nos familles et jusque dans la vie des couples. D’ailleurs, ce que l’on appelle en  ce moment des gestes barrières, qu’il faut adopter à cause de la situation sanitaire, crée encore plus un climat de repli, de peur et de distanciation entre les personnes. De plus, cet individualisme caractérise aussi la vie de l’Église. Il arrive souvent qu’une personne se présente à moi en exprimant sa préférence de vivre sa foi toute seule et de décider arbitrairement ce qu’elle est en droit de croire et de ne pas croire. À chacun sa foi, à chacun sa vérité !

Or aujourd’hui, Jésus nous donne un enseignement sur la vie communautaire. Il nous apprend que nous ne pouvons pas nous passer des autres et que nous en avons besoin pour exister. Pour l’illustrer, il prend l’exemple de la correction fraternelle. La correction fraternelle cherche à tout mettre en œuvre pour ramener celui qui a péché à l’intérieur de la communauté et à le réconcilier avec son prochain. Nous rencontrons tous des difficultés à nous parler face-à-face et à dialoguer en vérité, sans agressivité et sans violence. Nous avons bien des raisons qui nous freinent et nous arrêtent, car nous sommes souvent remplis de ressentiment et d’aigreur et nous cherchons plutôt la haine et la division que la réconciliation et l’union.

Il faut bien du courage pour dénoncer le mal qui détruit et pour conduire le pécheur sur le chemin de la vie. La correction fraternelle ne veut ni juger ni condamner celui qui a mal agi. Elle signifie que l’on n’est pas indifférent à l’autre et que l’on veut son bien. La correction fraternelle n’est motivée ni par la vengeance ni par la punition, mais par l’amour du prochain, par l’amour de cette personne que l’on souhaite éloigner du mal. Comme le rappelle saint Paul dans la lettre aux Romains : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. L’amour ne fait rien de mal au prochain. » La correction fraternelle ne recherche donc que le bien de la personne. Quand une personne commet le mal, non seulement elle se fait du mal à elle-même, mais elle fait aussi du mal à quelqu’un d’autre, et même à toute la communauté. Je me souviens du regard triste d’une de nos paroissiennes rencontrée cette semaine : son fils s’était bagarré ce matin-là avec un camarade de classe et cette mère avait été convoquée par le directeur de l’école pour rencontrer l’autre famille. La faute de son fils avait donc nuit à un autre jeune que lui-même et à la famille de ce jeune et elle avait même affecté sa propre mère. Le péché d’une seule personne peut donc avoir un retentissement sur toute autre personne. À l’inverse, la sainteté d’une seule personne peut sanctifier toute la communauté. Et c’est plutôt dans ce sens que nous devons œuvrer.

Jésus indique quatre étapes pour tirer le pécheur d’affaire. À la première étape, il nous dit de tout faire tout pour rencontrer directement le pécheur, pour attirer son attention sur le mal qu’il a commis, l’avertir et le guérir. Si l’on n’y parvient pas, la deuxième étape est plus communautaire : elle associe des témoins qui exhorteront le pécheur par une parole qui arrange tout, par une douceur qui respecte l’autre, par une patience qui prend du temps, afin de faire pression sur le frère ou la sœur qui a péché et l’amener à changer d’attitude. Si l’on n’y parvient toujours pas, la troisième étape en appelle à l’assemblée de l’Église, c’est-à-dire à toute la communauté chrétienne, afin d’éviter la partialité dans le jugement ou bien une vengeance personnelle et injuste. Pour finir, Jésus conseille de considérer le pécheur comme un païen ou un publicain : cela signifie le remettre entre les mains de Dieu après avoir épuisé toutes les solutions, c’est-à-dire compter sur la seule prière qui peut agir efficacement. Il est certain que ce n’est pas l’Église qui exclut le pécheur, c’est le pécheur qui s’exclut de lui-même.

Dans l’Évangile d’aujourd’hui, Jésus précise deux autres conditions en faveur de la vie fraternelle au sein de la communauté chrétienne : « Si deux d’entre vous sur la terre se mettent d’accord pour demander quoi que ce soit, ils l’obtiendront de mon Père qui est aux cieux. » Voilà toute la valeur qui est accordée à la prière, sa force et son efficacité qui permettent d’obtenir toujours plus de grâces. Et Jésus ajoute : « En effet, quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux. » Il est donc impossible de vivre sa foi tout seul. Il est fondamental de se réunir à plusieurs au nom de Jésus, pour que son action ait plus de force.

Aujourd’hui nous formons l’Église convoquée par le Christ pour célébrer l’eucharistie, et à la sortie nous serons envoyés dans nos maisons, puis dans nos écoles, sur nos lieux de travail ou de loisirs, pour continuer à témoigner du Christ, de sa Parole qui stimule et de son Corps qui nous habite. Aujourd’hui nous acceptons aussi de nous réconcilier avec Dieu et nous décidons de nous réconcilier les uns avec les autres pour être des artisans de paix. Aujourd’hui nous voulons construire une communauté fraternelle qui vit du commandement de l’amour, en prêtant une attention toute particulière à chacun personnellement, sans délaisser ni marginaliser personne. Le Seigneur dit en effet au prophète Ézéchiel : « Fils d’homme, je fais de toi un guetteur pour la maison d’Israël. » Aujourd’hui le Seigneur dit donc à chacun de vous : « Je fais de toi un guetteur. »

Voilà pourquoi, cette année, nous mettrons ensemble en place un véritable processus de croissance spirituelle de notre paroisse : nous chercherons à nous enraciner profondément en Dieu dans une relation vivante avec Jésus-Christ et avec sa Parole ; nous chercherons à nouer une vraie vie fraternelle où l’amour des frères et des sœurs est signifiant pour le monde qui nous entoure ; nous chercherons à devenir disciples en nous laissant former, enseigner, configurer et transformer par le Christ ; nous chercherons à servir tous nos frères sans en oublier un seul ; nous chercherons enfin à être missionnaires, en annonçant la Bonne nouvelle autour de nous. Appelés par Dieu à le suivre, nous sommes aussi tous envoyés pour une grande mission, celle de faire des disciples de Jésus. Si nous sommes appelés, c’est pour appeler à notre tour. Si nous nous laissons évangéliser, c’est pour évangéliser à notre tour. Pour cela, j’ai besoin de vous tous, j’ai besoin de votre prière, de vos bras, de vos jambes, de votre intelligence, de vos talents, de vos compétences. Dès aujourd’hui je vous appelle tous au nom du Seigneur. Allez-vous donc répondre à son appel et à l’appel de l’Église ? Venez et marchez à sa suite, vous ne serez pas déçus. Oui, devenez des guetteurs du Seigneur !

Journées des fiancés, besoin de parrains et de serviteurs

Chaque année, 35 à 45 couples de fiancés préparent leur mariage dans notre paroisse. Ils sont accompagnés par un prêtre et ils participent à une session animée par des couples laïcs.

Depuis l’an dernier (2018-2019), Mgr Rougé, a décidé de leur proposer une journée de rencontre diocésaine, la journée des fiancés.

Sorte de JMJ des fiancés ou de FRAT du mariage. Cette journée est un moment privilégié pour :

  • « Faire église »,
  • Permettre au couple de découvrir ou redécouvrir l’Amour du Seigneur,
  • Découvrir toute la richesse du mariage quand il est placé sous le regard de Dieu.

Les fiancés auront le choix entre 2 journées : le samedi 21 novembre ou le samedi 31 janvier. Et Mgr Rougé espère réunir 300 couples de fiancés à chacune de ces journées !  

Pour chacune de ces journées, Mgr Rougé a besoin de 100 couples parrains, qui accompagneront chacun 3 couples de fiancés.

Nul besoin d’être des experts du mariage. Il suffira de témoigner très simplement du sens de votre engagement, de dire comment le Christ a fortifié votre amour et – peut-être – transformé votre vie de couple.

Mgr Rougé a aussi besoin de 100 serviteurs. Les serviteurs, ce sont ceux qui vont s’occuper de l’accueil, des repas, qui vont faire de cette journée une merveille d’organisation !

L’engagement demandé ne requiert qu’une ½ journée de préparation en plus de la journée des fiancés. Si vraiment vous avez adoré et que vous en redemandez, vous pourrez rebeloter le 2ème samedi mais pas plus parce que y’a pas.

Les dates à noter sont les suivantes :

  • La ½ journée de préparation : samedi 10 octobre de 17h30 à 22h30, à la Maison Diocésaine à Nanterre,
  • Première JDF samedi 21 novembre et seconde samedi 30 janvier au collège et lycée La Salle Passy Buzenval à Rueil Malmaison.

N’hésitez pas, venez ! Les couples qui ont participé à la première session en janvier denier ont fait des retours enthousiastes.

Si vous souhaitez vous engager plus dans l’accompagnement des fiancés au mariage, sachez que la préparation au mariage cherche un couple supplémentaire.

Cette activité prévoit trois à quatre week-ends de disponibilité dans l’année : vendredi soir, samedi soir et dimanche matin ou samedi en journée et dimanche matin. Les couples animateurs disposent d’un support très complet pour les aider.

C’est l’occasion de présenter les quatre piliers du mariage, de témoigner sur cet engagement sous le regard du Christ et de partager les expériences des fiancés et des couples formateurs.

 Notre participation au murissement de la réflexion des fiancés et leur reconnaissance sont très gratifiants. Les échanges avec ces couples, les autres couples animateurs et le prêtre sont une source d’enrichissement mutuel.  Nous vous invitons à venir partager ce plaisir à animer ces sessions.

Pour de plus amples informations sur les JDF et/ou CPM et pour ceux qui souhaitent s’inscrire, nous vous invitons à nous écrire à l’adresse mail suivante : CPM Saint Pierre Saint Paul <cpmstpierrestpaul@gmail.com>.

Informations pratiques

Journée des Fiancés et des Jeunes Mariés (JdF)

Pour 2020-2021 nous avons ouvert la JdF aux jeunes mariés de 2020 afin de permettre à tous les inscrits à la JdF du 28 mars 2020 qui a été annulée de participer (fiancés et parrains). Pour reporter son inscription utiliser ce lien spécifique.

Pour tous les autres, fiancés, jeunes mariés, parrains, prêtres, serviteurs, les inscriptions sont ouvertes

Inscription à la JdF du samedi 21 novembre 2020

Inscription à la JdF du samedi 30 janvier 2021

Formation ouverte aux couples parrains

Samedi 10 octobre 2020 : 17h30 – 22h30, Maison Diocésaine de Nanterre
Formation indispensable pour les couples parrains de la JdF 

s’inscrire

Lettre pastorale de Mgr Rougé

Au lendemain du confinement et de la Pentecôte, deux ans après sa nomination à la tête du diocèse de Nanterre, Mgr Matthieu Rougé, publie une lettre pastorale intitulée Un grand vent de liberté.

Datée du 1er juin 2020, quarantième anniversaire de la visite du Pape Jean-Paul II à Issy-les-Moulineaux (pour y rencontrer les évêques de France réunis au Séminaire Saint-Sulpice), cette lettre ouvre des perspectives missionnaires, à partir de l’expérience du confinement en particulier.

Elle se focalise sur trois dimensions de la vie de l’Eglise : la fraternité, l’intériorité et la créativité, tout en insistant aussi sur les vocations et la mission. Jalonnée par des séries de question, elle est destinée à favoriser la réflexion et l’engagement de toutes les forces vives de l’Eglise catholique dans les Hauts de Seine pour les mois qui viennent.

Horaires d’été

Messes

Le port du masque est obligatoire pour tous à partir de 11 ans.

La feuille de messe peut être téléchargée sur la page d’accueil du site :

Lundi
Mardi8h30
Mercredi 12h
Jeudi 19h dans l'église avec un temps d'adoration
Vendredi19h dans l'église avec un temps d'adoration
Samedi18h30(messe anticipée)
Dimanche9h30
11h
18h30

Secrétariat – accueil

Jusqu’au lundi 13 juillet

Horaires normaux

du mercredi 15 au jeudi  30 juillet

Accueil ouvert du mardi au vendredi (sauf le 31 juillet) de 14h à 17h

du 03 au 14 août

Accueil fermé

A partir du lundi  17 août

Reprise des horaires normaux

Annonces paroissiales

En bref…

A la rentrée le père Yvan Maréchal remplacera le père Georges qui nous quitte vers d’autres horizons dans les Hauts de Seine

L’église reste ouverte de 8h à 20h tous les jours

Les confessions sont possible sur rendez vous

L’organisation de la reprise des messes sera communiquée ultérieurement sur le site internet et sur les affichages de l’église.