Brèves de l’évêché

DIACONIE

A la suite de l’appel du Pape en 2015 de nombreuses actions ont été menées dans le diocèse pour accueillir et accompagner réfugiés et demandeurs d’asile.

Rencontre de tous les acteurs engagés dans l’accueil et l’accompagnement des réfugiés et demandeurs d’asile.

Pour permettre à tous les acteurs engagés dans ces initiatives de se retrouver, un temps de rencontre est organisé à la Maison Diocésaine, le jeudi 28 mai 2020 de 19h à 22h30, en présence de Mgr Rougé. Cette rencontre a pour objectif de partager les expériences vécues et d’identifier les besoins de soutien des différents acteurs.

Contact : Bertrand Arrou – refugies@diocese92.fr

PRIERE DE GUERISON ET DE DELIVRANCE

Mgr Rougé invite tous les fidèles du diocèse à participer à la prière de guérison, de délivrance à la cathédrale de Nanterre le dimanche 29 mars 2020 de 15h à 17h. Un temps d’enseignement sera proposé, suivi de la prière de guérison et de délivrance et une adoration eucharistique. Les prêtres du diocèse seront présents pour donner le sacrement de réconciliation pendant la célébration.

RECRUTEMENT

Le diocèse de Nanterre recherche :

 Un(e) assistant(e) pour le Vicaire Général : https://diocese92.fr/offres-d-emploi-assistant-e-du-vicaire-general

 Un(e) assistant(e) de l’Evêque : https://diocese92.fr/Assistant-e-de-l-Eveque

 Un(e) assistant(e) pour son service Chancellerie : https://diocese92.fr/Offres-d-emploi-Assistant-e-de-Chancellerie

 Un(e) délégué(e) adjoint(e) salarié(e) pour le service diocésain du catéchuménat des adultes : https://diocese92.fr/Offres-d-emploi-catechumenat-adultes

Un(e) graphiste en stage : https://diocese92.fr/stage-graphiste

 Un(e) administrateur système et réseau en stage : https://diocese92.fr/offre-de-stage-administrateur-systeme-et-reseau.

 Un(e) stagiaire en comptabilité : https://diocese92.fr/Offres-de-stage-un-stagiaire-en-comptabilite-alternance-possible

Fête de la présentation de Jésus au Temple

En la fête de la Présentation de Jésus au Temple, nous célébrons un mystère de la vie du Christ, lié au précepte de la loi mosaïque qui prescrivait aux parents, quarante jours après la naissance du fils aîné, de monter au Temple de Jérusalem pour offrir leur fils au Seigneur et pour la purification rituelle de la mère (cf. Ex 13, 1-2.11-16; Lv 12, 1-8). Marie et Joseph accomplissent eux aussi ce rite, en offrant – selon la loi – un couple de tourterelles ou de colombes.
En lisant les choses plus en profondeur, nous comprenons qu’à ce moment-là, c’est Dieu lui-même qui présente son Fils Unique aux hommes, à
travers les paroles du vieillard Siméon et de la prophétesse Anne. En effet, Siméon proclame Jésus comme « salut » de l’humanité, comme « lumière » de tous les peuples, et « signe de contradiction » parce qu’il dévoilera les pensées des cœurs (cf. Lc 2, 29-35).
En Orient, cette fête était appelée Hypapante, fête de la rencontre: en effet, Siméon et Anne, qui rencontrent Jésus dans le Temple et reconnaissent en Lui le Messie tellement attendu, représentent l’humanité qui rencontre son Seigneur dans l’Eglise.
Ensuite, cette fête s’est étendue également à l’Occident, développant surtout le symbole de la lumière, et la procession avec les chandelles, qui est à
l’origine du terme « Chandeleur ». Par ce signe visible, on veut signifier que
l’Eglise rencontre dans la foi celui qui est « la lumière des hommes » et l’accueille avec tout l’élan de sa foi pour apporter au monde cette « lumière ».

Fête du Baptême du Seigneur

Voici trois extraits du chapitre I de l’exhortation apostolique de St Jean-Paul II sur la mission des fidèles laïcs, qui pourraient nous aider à faire
davantage le lien entre le baptême de Jésus et le nôtre :
« Par le baptême chrétien nous devenons fils ou filles de Dieu, dans
son Fils unique, Jésus-Christ. Au sortir des eaux des fonts baptismaux, chaque chrétien entend à nouveau la voix qui fut entendue un jour sur les rives du Jourdain: «Tu es mon Fils bien-aimé, tu as toute ma faveur» (Lc 3, 22), et il comprend ainsi qu’il a été associé au Fils bien-aimé, en devenant fils adoptif (cf. Ga 4, 4-7) et frère du Christ. » (n°11)
« …un nouvel aspect de la grâce et de la dignité du baptême: les
fidèles laïcs participent, pour leur part, à la triple fonction de Jésus-Christ:
sacerdotale, prophétique et royale. C’est un aspect qui, certes, n’a jamais été
négligé par la tradition vivante de l’Eglise, comme on le voit, par exemple, dans l’explication du Psaume 26 que nous présente Saint Augustin: «David reçut l’onction royale. En ce temps-là, il n’y avait à la recevoir que le roi et le prêtre.
Ces deux personnes préfiguraient le futur roi-prêtre unique, le Christ (le mot «Christ» vient de «chrisma», qui signifie «onction»). Et notre chef n’a pas été seul à recevoir l’onction, mais nous aussi, qui sommes son corps, nous l’avons reçue avec Lui … Voilà pourquoi l’onction est donnée à tous les chrétiens, alors que dans l’Ancien Testament elle n’était le fait que de deux personnes seulement. Que nous soyons le corps du Christ, cela ressort clairement du fait que nous avons tous reçu l’onction et qu’en Lui nous sommes oints (christi) et Christ, parce que, d’une certaine manière, la tête et le corps forment le Christ dans son intégrité» (n°14).


Tous les baptisés sont invités à écouter une fois encore les paroles de
Saint Augustin: «Réjouissons-nous et remercions: nous sommes devenus non seulement des chrétiens, mais le Christ … Soyez dans la stupeur et la joie: nous sommes devenus Christ!»(n°17).

Je fais un don

Pourquoi donner ?


Le culte catholique ne recevant aucune subvention, ses seules ressources proviennent des dons des fidèles. C’est un devoir pour chaque fidèle de participer financièrement, dans la mesure de ses moyens, aux charges de l’Église.

La participation financière des catholiques, selon leurs possibilités, est vitale pour l’Église.

Il est temps…

Il est temps de regarder loin, quittant provisoirement les enjeux
d’organisation quotidiens, il nous faut absolument considérer les destinataires de l’Evangile. Il est donc temps de regarder à qui porter l’annonce du Christ. Si l’Evangile est fait pour nous, bien-sûr, le Christ compte aussi sur ses disciples d’aujourd’hui pour ne pas garder captif en eux cette Belle Annonce de l’Evangile.

Dans le monde qui est le nôtre, on ne peut plus simplement attendre
que nos contemporains viennent à nous, il nous faut susciter des occasions de rencontre. Autrefois dans un monde avec plus de repères chrétiens structurants, il y avait plein d’occasions pour que les français croisent la route du Christ et de l’Evangile. Aujourd’hui ce n’est plus beaucoup le cas. Alors on peut se désoler et être plein de rêvasseries et de nostalgie, ou bien faire comme les premiers disciples et tant d’autres chrétiens, depuis, à travers le monde en annonçant l’Evangile.
Pour la 3ème année nous voulons que la proposition du Parcours Alpha soit l’outil commun à tous les services de la paroisse, à tous les paroissiens, pour rejoindre ceux qui ne sont pas chrétiens ou ceux qui sont très loin du
christianisme, et pourtant curieux ou en attente d’en découvrir plus. Dites vous bien qu’il n’y a pas de chrétiens qui soient spécialisés ou députés pour cette tâche, si ce n’est vous. Si vous ne le proposez pas à votre voisin avec qui un jour vous aviez parlé du deuil de sa grand-mère, personne ne le fera. Le parcours commencera début janvier, il est donc temps d’inviter. Dans un 1er temps, il faudrait que chacun se prépare à inviter. Ce n’est pas rien ! Ce n’est pas facile et nous pouvons avoir un peu peur. Pourquoi ne pas porter cette mission de chaque baptisé au cœur de votre prière ? Prendre un temps de silence pour nous demander sous le regard du Seigneur : QUI pourrais-je inviter au prochain parcours ? Dans quel LIEU pourrais-je en parler ? (Entreprise, association, club de sport etc). Je peux écrire sur un post-it des prénoms éventuels ou bien des noms de lieux et les placer près de la croix chez moi …
Je prends le temps de prier spécifiquement pour les personnes que je
souhaite inviter. Comment je vais leur parler du parcours alpha de façon
simple, juste, adaptée à la personne :
Je pourrais essayer d’écrire une parole forte mais courte qui pourrait dire ce
que propose le parcours, et témoigner de ma foi aujourd’hui (en quoi elle me fait vivre, elle me donne de la joie ?)
Si vous avez déjà plein de belles initiatives personnelles, la paroisse vous
propose de vivre ensemble une expérience d’Eglise qui sort à la rencontre de ses voisins :

Chrétiens hors les murs

le samedi 14 décembre à 14h à la Maison Paroissiale.

Cela commencera par un temps de formation et de prière, puis nous irons en quelques carrefours importants de Courbevoie pour rencontrer les passants et les inviter aux célébrations de Noël et au Groupe Alpha. Nous nous retrouverons vers 17h pour rendre grâce et relire cette expérience. Pendant ce temps des paroissiens se relaieront dans l’église pour prier pour que le Seigneur soit bien au cœur de cette « sortie ». Notez bien la date !
Il est temps ! En ce dimanche du Christ Roi de l’univers, l’Eglise nous
invite à envisager l’humanité au pied de cette croix où le Christ a donné sa vie pour tous.


Père Georges Vandenbeusch

L’espérance des pauvres ne sera jamais déçue

[…] 6. Dans sa proximité avec les pauvres, l’Église découvre qu’elle est un peuple qui, dispersé parmi tant de nations, a pour vocation de ne faire sentir à personne qu’il est étranger ou exclu, car tout le monde est impliqué dans un chemin commun de Salut. La condition des pauvres nous oblige à ne pas nous éloigner du Corps du Seigneur qui souffre en eux. Nous sommes plutôt appelés à toucher sa chair pour nous compromettre personnellement dans un service d’évangélisation authentique. La promotion sociale des pauvres n’est pas un engagement extérieur à la proclamation de l’Évangile, au contraire, elle montre le réalisme de la foi chrétienne et sa valeur historique.
L’amour qui donne vie à la foi en Jésus ne permet pas à ses disciples de se replier dans un individualisme asphyxiant, caché dans des segments d’intimité spirituelle, sans aucune influence sur la vie sociale (cf. Exhort. ap. Evangelii Gaudium, n. 183).


7.« L’option pour les plus petits, pour ceux que la société rejette et met de côté » (ibid., n. 195) est un choix prioritaire que les disciples du Christ sont appelés à poursuivre pour ne pas trahir la crédibilité de l’Église et donner une espérance effective à tant de personnes sans défense.
L’engagement des chrétiens, à l’occasion de cette Journée mondiale, et surtout dans la vie de tous les jours, ne consiste pas uniquement en des initiatives d’assistance qui, bien que louables et nécessaires, doivent viser à renforcer en chacun l’attention maximale qui est due à chaque personne en détresse.
L’espérance se communique aussi à travers la consolation, qui se réalise en accompagnant les pauvres, non pas pour quelque moment chargé d’enthousiasme, mais avec un engagement qui dure dans le temps. Les pauvres acquièrent de l’espérance réelle non pas quand ils nous voient gratifiés pour leur avoir donné un peu de notre temps, mais lorsqu’ils reconnaissent dans notre sacrifice un acte d’amour gratuit qui ne cherche pas à être récompensé.


8. Aux nombreux bénévoles, auxquels il revient souvent le mérite d’avoir senti en premier l’importance de cette attention aux pauvres, je demande de grandir dans leur dévouement. Chers frères et sœurs, je vous exhorte à chercher, avec chaque personne pauvre que vous rencontrez, ce dont elle a vraiment besoin ; à ne pas vous arrêter à la première nécessité matérielle, mais à découvrir la bonté qui se cache dans leur cœur, en vous faisant attentifs à leur culture et à leurs façons de s’exprimer, pour pouvoir entamer un véritable dialogue fraternel. Mettons de côté les divisions qui proviennent de visions idéologiques ou politiques, fixons le regard sur l’essentiel qui n’a pas besoin de beaucoup de mots, mais d’un regard d’amour et d’une main tendue. N’oubliez jamais que «la pire discrimination dont souffrent les pauvres est le manque d’attention spirituelle »

Extraits du Message du pape François pour la 3ème Journée Mondiale Des Pauvres

Je suis toujours une mission

C’est un mandat qui nous touche de près : je suis toujours une
mission ; tu es toujours une mission ; toute baptisée et tout baptisé est une
mission.
Celui qui aime se met en mouvement, il est poussé en dehors de lui même,
il est attiré et attire, il se donne à l’autre et tisse des relations qui
engendrent la vie.
Personne n’est inutile et insignifiant pour l’amour de Dieu. Chacun
d’entre nous est une mission dans le monde parce qu’il est fruit de l’amour de
Dieu […], Dieu ne se soustrait jamais au don de la vie, en destinant chacun de
ses enfants, depuis toujours, à sa vie divine et éternelle (cf. Ep 1, 3-6).

Extrait du message du pape pour le mois missionnaire extraordinaire